En toutes circonstances, saisissez-vous de la foi comme d’un bouclier 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 lequel viendront s’écraser toutes les flèches 𝑒𝑛𝑓𝑙𝑎𝑚𝑚𝑒́𝑒𝑠 de 𝑙’𝑎𝑑𝑣𝑒𝑟𝑠𝑎𝑖𝑟𝑒. (Éphésiens 6 : 16)
Le 𝐷𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒 n’a pas proprement dit peur du nom de Jésus-Christ mais plutôt de celui qui est né de nouveau et qui entretient une foi vivante dans la personne de Jésus-Christ, en s’identifiant à lui dans sa 𝑚𝑜𝑟𝑡 et sa résurrection.
Quelques Juifs, qui allaient de lieu en lieu pour chasser les 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑛𝑠, s’avisèrent alors d’invoquer, eux aussi, le nom du Seigneur Jésus sur ceux qui étaient sous l’emprise d’esprits 𝑚𝑎𝑢𝑣𝑎𝑖𝑠.
Par le nom de ce Jésus que Paul annonce, disaient-ils, je vous ordonne de sortir.
Mais l’esprit 𝑚𝑎𝑙𝑖𝑛 leur répondit :
Jésus ? Je le connais. Paul, je sais qui c’est. Mais vous, qui êtes-vous ? (Actes 19 : 13, 15)
Le chrétien qui parle au nom de Jésus-Christ, il le fait en connaissance de cause parce qu’il connaît son Dieu, en effet, il a identifié sa vie à ses enseignements, il mange chaque jour de la 𝑐ℎ𝑎𝑖𝑟 de Jésus et il boit aussi de son 𝑠𝑎𝑛𝑔.
Nous devons comprendre que le 𝐷𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒 va tout faire pour essayer de mettre un enfant de Dieu sous la culpabilité, qui est produite par l’esprit de l’ancienne alliance.
En effet, il sait très bien que s’il arrive à affaiblir la foi d’un chrétien qui n’est plus sous la grâce de Dieu, ce chrétien deviendra 𝑣𝑢𝑙𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒.
N’oublions jamais que la grâce est le résultat de la nouvelle alliance qui vient de l’œuvre accomplie par Jésus-Christ.
Le chrétien qui a déposé son bouclier sera comme un soldat sans 𝑎𝑟𝑚𝑒, devenant ainsi vulnérable aux 𝑎𝑡𝑡𝑎𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙’𝑒𝑛𝑛𝑒𝑚𝑖 de son âme.
Conclusion : pour ne pas déposer son bouclier, il est nécessaire d’entretenir sa foi, en étant dans un milieu propice comme le faisaient les premiers chrétiens.
Dès lors, ils se réunissaient constamment pour se faire enseigner par les apôtres, pour vivre comme des frères en communion les uns avec les autres, pour rompre le pain et prier ensemble.
Tous les croyants vivaient ensemble et mettaient en commun tout ce qu’ils possédaient. (Actes 2 : 42, 44)
Que Dieu bénisse ta vie !